A voir cet interview de Jean Jacques SAUVAGE, sur You tube, sur son parcours dans la voie des arts martiaux.
à taper sur youtube: "interview jean jacques sauvage sensei"
lien : Suishinkai dojo
+
remarquable
Kakou la mouette
dimanche 26 septembre 2021
Bonjour,
Je viens de voir sur Facebook une image représentant l'effigie d'une ancienne école de sabre (Ci-dessous).
Je constate que cette emblème présente des modifications pouvant porter atteinte à l'honneur de cette école.
Je voudrais savoir si le nouveau "Grand maitre Français" de cette école trouve cela correcte de laisser publier cette image, ou bien que le coté copinage autorise cette pratique.
Je rappelle ci-dessous le courriel menaçant que j'ai reçu de cette personne concernant ma pratique au sein de mon dojo , (dojo qui, officiellement fait parti de la fédération française de kendo CNK ) contrairement a cette personne qui n'a aucune fédération ni organisme en France?
courriel du 15/03/2020
"La contrefaçon de marques de fabrique, de commerce et de service (article L. 716-9 et s. CPI) est punie de quatre ans d’emprisonnement et de 400 000 euros d’amende ; seuls les délits assimilés à cette dernière (article L. 716-10 CPI) font encourir à leur auteur trois ans d’emprisonnement et 300 000 euros d’amende. Pour les personnes morales, l’amende est égale au quintuple de celle prévue pour les personnes physiques (article 131-38 du Code pénal) et les peines mentionnées à l’article 131-39 du Code pénal sont applicables : dissolution, fermeture, placement sous surveillance électronique… Lorsque les délits ont été commis en bande organisée ou sur un réseau de communication au public en ligne, les peines sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 500 000 euros d'amende. (article L716-10 du code de la Propriété Intellectuelle)"
Ces menaces ont été portées à la connaissance du conseil juridique de la FFJDA ainsi qu'auprès de M.Malassi président du CNK.
Je pense que cette personne met en cause mon honneur et je me réserve le droit de déposer une plainte auprès du tribunal d'instance d Albi.
Hiroshima le 6 août 1945, Nagasaki 3 jours plus tard. Cette
enquête de grande ampleur éclaire aussi bien les motivations
réelles des Américains que les conséquences sociales, sanitaires
et environnementales du désastre. Un regard indispensable sur
un événement qui a provoqué tant d’aveuglement.
Les noms sont entrés dans la mémoire collective, et ils
résonnent encore de manière macabre. Le projet atomique américain
s’appelait "Manhattan Project", la bombe, "Little
Boy", et l’avion qui a ouvert sa soute, Enola Gay.
Le 6 août 1945, sur ordre du président Truman, un bombardier B-29
largue sur Hiroshima la première arme nucléaire jamais utilisée
lors d’une guerre. "Il y eut un anneau de feu rouge et
aveuglant, un scintillement de couleurs. Je ne devrais pas le dire,
mais c’était magnifique", confie un des survivants.
"L’aube d’une ère nouvelle", assurent
certains scientifiques. Quatre-vingt mille Japonais paient de leur
vie sur-le-champ ce basculement de l’histoire de l’humanité,
au moins cent quarante mille au total trouveront la mort. Si,
bien entendu, les suites immédiates et dantesques de l’explosion
sont l’épicentre du documentaire, elles n’en constituent pas
l’unique objet. Grâce à la révélation d’étonnants secrets,
Hiroshima, la véritable histoire dissipe les écrans de
fumée qui ont, en grand partie à cause de l’habile désinformation
occidentale, détourné le monde de la réalité des faits.
Test
grandeur nature
Cette investigation ambitieuse éclaire
aussi bien les motivations réelles des Américains que les
conséquences sociales, sanitaires et environnementales du désastre.
Little Boy était-elle un "mal nécessaire" pour forcer les
Japonais à capituler ? Le film démontre que le pays de
l’empereur Hirohito avait de toute façon déjà perdu la guerre et
s’apprêtait à négocier. Les objectifs de Truman étaient
autres : tester in vivo l’efficacité de la bombe et
devancer les Russes dans la course à l’armement. Même duplicité
après la seconde explosion atomique, à Nagasaki, le 9 août :
les Américains coupent du monde les zones japonaises dont ils ont
pris le contrôle, mènent des études scientifiques mais ne
soignent personne. Le quotidien des irradiés est occulté :
considérés comme des pestiférés, ils doivent subir l’emprise
rapace des mafias japonaises et la désagrégation des rapports
humains. Dans le même temps, aux États-Unis, une propagande
gouvernementale massive tente de légitimer les bombes et de rendre
populaire le recours au nucléaire. Bénéficiant d’images
d’archives inédites et de documents confidentiels, le film de Lucy
van Beek met en avant de nombreux témoignages, notamment
japonais (experts, agents secrets, survivants). Les souvenirs et les
histoires individuelles qu’ils esquissent aboutissent tous au même
constat : les ondes de choc d’Hiroshima n’ont pas encore
disparu.
A revoir sur ARTE :
https://www.arte.tv/fr/videos/054197-000-A/hiroshima-la-veritable-histoire/
Le stage s'est déroulé sous la direction de Jean Jacques SAUVAGE assisté de:
André HAUBERT, Vincent HEITZ, Catherine ALEXANDRIDES, Vincent QUIRI.
Ce stage fut orienté sur les coupes principalement.
Lors du passage de grade de 1er dan, Antoine ZACARIAS a décroché sa ceinture noire ce qui fait la 7éme ceintures noires au dojo de Damiatte.
Nous lui souhaitons une bonne continuation dans cette voie.
Étaient présents à ce stage du club de Damiatte :
David, Jean Do, Jean Claude, Antoine, Xavier, Emilie, Bernard et Christian.
Nous leurs donnons RDV au stage de Vedéne en juillet.
Le château d'Osaka est un des châteaux les plus
célèbres du Japon. Il a joué un rôle majeur durant l'unification
du Japon au XVIe siècle
au cours de l'une des dernières grandes révoltes contre les
Tokugawa réprimée lors des sièges d'Osaka en 1614 et
1615.
Le château est situé dans l'arrondissement de Chuo-ku et occupe
environ un kilomètre carré. Il est construit sur deux plates-formes
imbriquées soutenues par des murs de pierre, chacune donnant sur un
fossé. Le donjon comporte cinq niveaux extérieurs et huit étages.
Il est une attraction touristique majeure d'Osaka.
Pierre du mur d'entrée de 120 tonnes
le Château d'Osaka
Le château d'Himeji
C'est l'un des plus anciens bâtiments du Japon médiéval.
Inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO et désigné comme trésor
culturel du Japon c'est l'un des douze seuls châteaux japonais dont
les donjons en bois soient encore existants ( les autres ont été
reconstruits après l'époque féodale ).
Autel Shinto au dernier étage du château
La charpente du château
le château est aussi connu sous les
sobriquets de «Hakuro-jô» ou «Shirasagi-jō»
(château du Héron blanc ou de l'aigrette blanche) en raison de sa
couleur blanche et aussi par opposition aux deux autres célèbres
châteaux d'Okayama et de Matsumoto, tous deux de couleur
noire.
Sanctuaire Itsukushima
Fondé en 593, le sanctuaire d'Itsukushima existe dans sa forme actuelle depuis 1168 grâce aux dons de Taira no Kiyomori. La construction du sanctuaire, consistant en des structures sur pilotis
et des pontons, est due au statut sacré de l'île. Les visiteurs
n'avaient en effet pas le droit d'y mettre pied à terre ; ils devaient,
en arrivant par bateau, passer sous le torii flottant et accoster sur les pontons.
La pagode
De part sa situation géographique le sanctuaire a été protégé de la bombe atomique d'Hiroshima le 6 aout 1945.
Hiroshima
Hiroshima fut fondée en 1589 sur la côte nord de la mer intérieure de Seto (Setonaikai) par le seigneur féodal Terumoto Mori. Celui-ci construisit le château d'Hiroshima sur la plus grande des îles que forment les bras de la rivière Ōta, d'où le nom de la ville.
Le 6 août 1945 à 8 h 15 (heure locale), le bombardier B29, baptisé Enola gay, décolle de la base de Tinian avec à son bord une bombe atomique à l'uranium 235 d'une puissance de 15 kilotonnes, surnommée little boy .
A 8 h 16 min 2 s heure locale, après 43 s de chute libre, la bombe explose à 587 mètres du sol, à la verticale de l’hopital Shima, situé au cœur de l'agglomération, à moins de 300 mètres au sud-est du pont Aioi, initialement visé car reconnaissable par sa forme en « T ».
L'explosion rase instantanément la ville , 75 000 personnes sont tuées sur le coup.
Un seul homme a survécu à l'explosion , il travaillait dans le sous-sol d'un bâtiment.
La reconstruction de la ville intègre un musée de la paix.. Un vaste parc, le parc du mémorial de la paix, s'étend sur 12 hectares, à proximité de l'hypocentre de l'explosion, dans lequel chaque année, le 6 août, une cérémonie commémorative est organisée. Ce parc abrite de nombreux monuments à la mémoire des victimes de la bombe. Le cénotaphe contient le nom de toutes les victimes connues de la bombe ; une flamme de la paix y brûle, destinée à rester allumée tant que des armes nucléaires existeront.
Le cénotaphe
Sadako Sasaki est une fillette japonaise née à Hiroshima le 7 janvier 1943 et morte dans la même ville le 25 octobre 1955. Décédée à l'âge de douze ans d'une leucémie due à la bombe atomique, elle est devenue depuis, grâce à ses Grues en papier, une icône de la paix.
Des écoliers viennent rendre hommage àSadako Sasaki en apportant 1000 gruesqu'ils ont confectionnées.
La statue de Sadako Sasaki portant une grue en or au dessus de sa tête
Elle confectionna au total 644 grues de papier. Elle mourut le 25 octobre 1955
à l'âge de douze ans. Elle avait plié ses grues avec tout le papier
qu'elle pouvait trouver, y compris des étiquettes de ses flacons de
médicament.
Quiconque confectionne mille grues en origami voit un vœu exaucé. Sadako s'attela dès lors à la tâche, espérant que
les dieux, une fois les mille grues pliées, lui permettraient de guérir.
Sadako Sasaki
Un arbre fut épargné par l'explosion , de nos jours une greffe a été faite et replantée à coté de celui ci afin de perpétuer sa mémoire.
Quartier Gion
Les geishas à Gion sont plus connues sous le vocable local de geiko. Tandis que le terme geisha signifie « artiste » ou « personne des arts », geiko signifie plus particulièrement « un enfant des arts » ou « une femme d'art ».
On compte à Kyoto deux hanamashi : Gion Kōbu et Gion Higashi . Malgré le déclin considérable du nombre de geishas à Gion ce dernier siècle, la ville reste célèbre pour son architecture et ses divertissements traditionnels.
Maison de geisha
Temple Ryoanji
Ryōan-ji, littéralement « Temple du repos du dragon ») est un monastère zen situé dans le nord-ouest de Kyoto, construit au XVI e siècle, à l'époque de Muromachi. Il fait partie du Patrimoine mondial de l'UNESCO, étant l'un des monuments historiques de l'ancienne Kyoto. Le temple appartient à l'école Myoshin-ji de la branche rinzai du bouddhisme zen. Le site du temple appartenait à l’origine au clan Fujiwara.
Le jardin a été construit à la fin du XVe siècle ou au début du XVI e siècle,
entre 1499 et 1507. Sa superficie est d'environ 200 mètres carrés. Il
est entouré au sud et à l'ouest d'un muret couvert d'un toit de tuiles, à
l'est d'un autre muret, et au nord d'une véranda en bois derrière
laquelle se trouve le hōjō (les appartements du supérieur du monastère).
Les pierres ont été disposées de telle sorte qu’il ne soit pas
possible de voir les quinze pierres à la fois d’où que se trouve
l’observateur.
Le jardin se compose simplement d’un lit de fins graviers de kaolin harmonieusement ratissés. Le kaolin ratissé symbolise l’océan, les rochers, eux, figurent les montagnes.
Nijo-jo
C'est Tokugawa Ieyasu qui le fit construire en 1603. Il se constitue de deux cercles concentriques de fortifications, des palais Ni no Maru et Honmaru , de divers bâtiments de soutien et de plusieurs jardins. Il couvre une surface totale de 275 000 m2, dont environ 8 000 m2 de constructions.
En 1601 Ieyasu Togugawa, fondateur du shogunat des Tokugawa
ordonne aux nobles féodaux de l'ouest du Japon de participer à la
construction du château de Nijō. La construction est achevée en 1626 sous le shogunat de Ieyasu Togugawa.
Initialement construit pour servir de garnison, il fit office de
résidence temporaire des shoguns Tokugawa lors de leurs visites à la
capitale de l'époque : Kyoto.
Une des caractéristiques du château de Nijô est le « plancher
rossignol » qui recouvre les couloirs. Il est construit de telle sorte
que le moindre pas fasse crisser les lattes de bois, qui émettent un son
semblable au pépiement d'un oiseau. Ce plancher est construit pour
détecter tout intrus ou assassin possible.
Jeunes filles en kimono traditionnel
Kiyomizu Dera
Le Kiyomizu-dera trouve ses origines en 778, vers la fin de l'époque Nara ; selon la tradition, il aurait été construit par Sakanoue no Tamuramaro. Les édifices actuels datent de 1663, ils ont été reconstruits par Iemitsu Tokugawa.
Le temple tient son nom de la chute d'eau qui se trouve à l'intérieur
de son enceinte, eau provenant des collines environnantes, kiyoi mizu signifiant eau pure ou eau de source.
En contrebas du bâtiment principal se trouve la chute d'eau Otowa-no-taki,
d'où trois canaux plongent dans une mare. Les visiteurs du temple
boivent de cette eau dans des coupelles en fer, eau qui aurait des
propriétés thérapeutiques. Il est dit que boire de l'eau des trois
canaux confère santé, longévité et succès dans les études.
Kinkaku-ji
Le pavillon d'or,
qui donne son nom, « Kinjaku », au temple et situé dans son jardin, a
rendu le temple célèbre. Le bâtiment est entièrement recouvert d'or pur,
à l'exception du rez-de-chaussée. Il sert de Shariden, contenant des reliques de Bouddha .
le ticket d'entrée
Au sommet du toit couvert de bardeaux se trouve la sculpture d'un fenghuang doré, ou « phénix chinois »
Le bonzai du dernier shogun a été mis en terre à sa mort : le voici de nos jours
Fushimi Inari Taisha est le plus grand sanctuaire
shinto du Japon situé au sud de Kyoto. Erigé en 711, il est dédié à la
déesse du riz Inari et plus largement à la richesse. La beauté de ce
complexe se dévoile au gré d'une randonnée pédestre le long d'une
vallée, balisée par des milliers de portiques vermillon appelés tori
Tori
Le repas traditionnel japonais
Nara:Todai-ji
Daims en libertés
Le temple, construit au VIII e siècle, est détruit et reconstruit presque intégralement deux fois au cours de son histoire, au XII e et au XVI e siècle. Son édification sous l’égide de l’empereur Shomu entre 745 et 752 requiert la mobilisation de toutes les ressources du jeune État japonais et grève durablement les finances publiques
Dans l’enceinte se trouve la plus grande construction en bois au monde, le Daibutsu-den, (Salle du Grand Bouddha), qui abrite une statue colossale en bronze du bouddha Vairocana appelée Daibutsu,
c'est-à-dire « Grand Bouddha ». Le bâtiment, d’une largeur de huit
travées de piliers (soit 57 mètres), est un tiers plus petit que le
temple originel qui en comprenait douze.
Vue du parc
Kongōbu-ji
« Kongōbu-ji » signifie « Temple de la Montagne du Diamant ». Ce temple bouddhique fait partie des sites sacrés et chemins des pèlerinage dans les monts Kii
Le moderne jardin de pierre Banryūtei du temple est le plus grand du Japon (2 340 m 2 ),
avec cent quarante pierres de granit disposées de façon à suggérer une
paire de dragons émergents des nuages pour protéger le temple.
Les cuisines de temple peuvent servir 200 repas avec ses cuisines immenses.
Le Koyassan Kongo buji
Le Clocher Danjo Garan
Notre chambre avec des futons
le repas végétarien en commun
Mikimoto Pearl Island
Mikimoto Pearl Island est une petite île de la baie d'Ise, au large de Toba, dans la préfecture de Mie, au Japon.
Cette île est connue comme le berceau de la perliculture et fait partie du Mikimoto Pearl Museum
les plongeuses descendent jusqu’à 10 mètres de profondeur en apnée.
Mikimoto Kōkichi
Mikimoto Kōkichi (5 janvier ou 10 mars 1858 – 21 septembre 1954) est un entrepreneur japonais, inventeur de la technique Mise/Nishikawa pour la production de perles de culture sphériques. Il est listé comme l'un des « Dix grand inventeur japonais ».
Mausolée de kobo Daishi
Kūkai (31juillet 774- 22 avril 835) plus connu sous le nom de Kōbō-Daishi est le saint fondateur de l'école bouddhiste Shingon; il est aussi une figure marquante de l'histoire du japon :
son esprit universel a fortement influencé la culture et la
civilisation japonaise. Il était non seulement un grand religieux, mais
aussi un éminent homme de lettres, un philosophe, poète et calligraphe.
Toute sa vie il manifesta une grande bienveillance pour tous les êtres,
et c'est pour cette raison qu'il est encore, de nos jours, si populaire
au Japon.
Mausolée de Asano Naganori
Histoire d'Asano Naganori
On raconte qu 'Asano Naganori était en mauvais termes avec Yoshinaka Kira ( le maître de cérémonie) , leur relation ne fit qu'empirer suite a plusieurs reproche faite par Kira sur l’accueil de ce dernier . Asano dégaine son sabre et tente de tuer Kira
dans le Couloir des Pins du château d'Edo. Il le blesse mais
ne parvient pas à le tuer. Le même jour, le shogun Tsunayoshi
Tokugawa le condamne à la mort par seppuku ( hara kiri ) .
Ses serviteurs
deviennent rōnin (samourai sans maître) quand le shogunat
confisque ses terres. Sous la conduite d'Oishi Kuranosuke, ils
vengent plusieurs années plus tard, leur seigneur en assassinant Kira le 14 décembre
1702. Ils deviennent célèbres sous le nom des 47 Ronins, et leur
vendetta est aujourd'hui l'une des plus connues au Japon.(voir l'histoire des 47 Ronins dans mon blog ).
Il
est enterré au cimetière du Sengaku-ji avec ses 47 samourais.
" Sotaba " planches en bois en l'honneur des noyers et des femmes décédées lors de l'accouchement
Deux pélerins
Village de Shirakawa
Shirakawa-gō ainsi que le village de Gokayama sont surtout connus pour leurs maisons typiques dans lesquelles étaient élevés les vers à soie. Ce style architectural appelé gassho-zukuri (construction aux paumes des mains jointes) désigne les maisons au toit très pentu afin de supporter les chutes de neige très abondantes de cette région montagneuse.
Maisons au toit pentu
Myozen-ji est un temple bouddhiste du courant Jodo(ou "secte de la Terre pure") fondé en 1744, situé dans le village d’Ogimachi rattaché à Shirakawa-go
Visite d'une fabrique de saké
Entrée de la fabrique de saké
la dégustation !!!
Où est le samurai ?
Croisière sur le lac Ashi
la croisière sous une pluie battante
non ce n'est pas Christophe Colomb !!!
Le mauvais temps nous a empêché de voir le mont Fuji
Temple Tsuragaoka Hachimangu
Il fut construit en 1063 près de Yuigahama, et dédié à Hachiman Daimyojin, déification de l' Empereur Ojin.. Minamoto no Yoritomo, le fondateur du shogunat Kamakura, choisit cette ville en 1191 et fit de Hachiman, le Dieu de la guerre, son protecteur.
On raconte que plusieurs centaines de guerriers du clan se sont
suicidés dans ce temple à la suite d'une défaite sévère lors des guerres
contre le clan Taira, qui allait aboutir à l'instauration du shogun
Tokyo
Le Temple Asakusa, ( Sensō-ji ) est un temple bouddhiste situé à Tokyo, dans le quartier d' Asakusa (arrondissement de Taito). C'est le plus vieux temple de la capitale japonaise ; il est dédié à la déesse Bodhisattva Kan.
la Pagode
Un mariage traditionnel japonais
Des nouveaux transports japonais !!!
Rue de la jeunesse japonaise
La mairie de Tokyo
Après la visite de Tokyo un petit resto
Tokyo vu de la chambre d’hôtel
Tokyo la nuit
Bâtiment de l'Université de la mode
Une rue de Tokyo la nuit
Une petite japonais un peu timide !!!
Quelques repas japonais avec sont charmant serveur et sa bouteille de saké
La bouteille de saké
le service
Le repas à la japonaise en seisa
Les visites dans certain temple n'ont pas été photographiées par respect des lieux sacrés ainsi que dans le musée de la paix d' Hirochima en mémoires des hommes , des femmes et des enfants qui sont morts sous le déluge de feu de la bombe atomique Américaine .
Nous tenons à remercier keiko, notre guide japonaise, qui nous a dirigés durant tout notre voyage en nous apportant sa culture et ses connaissances de ce beau pays qui est le JAPON.
Arigato Keiko
Un sarubobo est une
amulette japonaise, particulièrement associée avec la ville de
Takayama.
Les sarubobo sont des poupées rouges, sans
véritable visage. Les sarubobo peuvent être de tailles très
différentes. Traditionnellement, ce sont les grand-mères qui
confectionnent les sarubobo pour leur petite-fille, ou bien
pour leur fille dans le but de porter bonheur pour le mariage.
Sarubobo signifie en japonais de
cette région « bébé singe ». Faites attention quand vous direz
ce mot, car dans l'ile de Kyushu « bobo » veut dire autre chose ... ( à vos dictionnaires )