mercredi 5 juin 2019

VOYAGE au JAPON

                                Notre voyage au Japon Mai 2019


Notre itinéraire



                              

Notre avion le Boeing 777 d'Air France


Le château d'Osaka est un des châteaux les plus célèbres du Japon. Il a joué un rôle majeur durant l'unification du Japon au XVIe siècle au cours de l'une des dernières grandes révoltes contre les Tokugawa réprimée lors des sièges d'Osaka en 1614 et 1615.

Le château est situé dans l'arrondissement de Chuo-ku et occupe environ un kilomètre carré. Il est construit sur deux plates-formes imbriquées soutenues par des murs de pierre, chacune donnant sur un fossé. Le donjon comporte cinq niveaux extérieurs et huit étages. Il est une attraction touristique majeure d'Osaka.


 Pierre du mur d'entrée de 120 tonnes


le Château d'Osaka










Le château d'Himeji

C'est l'un des plus anciens bâtiments du Japon médiéval. Inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO et désigné comme trésor culturel du Japon c'est l'un des douze seuls châteaux japonais dont les donjons en bois soient encore existants ( les autres ont été reconstruits après l'époque féodale ).


 




 
 
 

 
Autel Shinto au dernier étage du château


La charpente du château

 

 le château est aussi connu sous les sobriquets de «Hakuro-jô» ou «Shirasagi-jō» (château du Héron blanc ou de l'aigrette blanche) en raison de sa couleur blanche et aussi par opposition aux deux autres célèbres châteaux d'Okayama et de Matsumoto, tous deux de couleur noire.




Sanctuaire Itsukushima

Fondé en 593, le sanctuaire d'Itsukushima existe dans sa forme actuelle depuis 1168 grâce aux dons de Taira no Kiyomori. La construction du sanctuaire, consistant en des structures sur pilotis et des pontons, est due au statut sacré de l'île. Les visiteurs n'avaient en effet pas le droit d'y mettre pied à terre ; ils devaient, en arrivant par bateau, passer sous le torii flottant et accoster sur les pontons.  
 















                                                                      La pagode




De part sa situation géographique le sanctuaire a été protégé de la bombe atomique d'Hiroshima le 6 aout 1945.


Hiroshima

Hiroshima fut fondée en 1589 sur la côte nord de la mer intérieure de Seto (Setonaikai) par le seigneur féodal Terumoto Mori. Celui-ci construisit le château d'Hiroshima sur la plus grande des îles que forment les bras de la rivière Ōta, d'où le nom de la ville.


Le 6 août 1945 à h 15 (heure locale), le bombardier B29, baptisé Enola gay, décolle de la base de Tinian avec à son bord une bombe atomique à l'uranium 235 d'une puissance de 15 kilotonnes, surnommée little boy .



A 8 h 16 min 2  s heure locale, après 43 s de chute libre, la bombe explose à 587 mètres du sol, à la verticale de l’hopital Shima, situé au cœur de l'agglomération, à moins de 300 mètres au sud-est du pont Aioi, initialement visé car reconnaissable par sa forme en « T ».


L'explosion rase instantanément la ville , 75 000 personnes sont tuées sur le coup.
Un seul homme a survécu à l'explosion , il travaillait dans le sous-sol d'un bâtiment.




La reconstruction de la ville intègre un musée de la paix.. Un vaste parc, le parc du mémorial de la paix, s'étend sur 12 hectares, à proximité de l'hypocentre de l'explosion, dans lequel chaque année, le 6 août, une cérémonie commémorative est organisée. Ce parc abrite de nombreux monuments à la mémoire des victimes de la bombe. Le  cénotaphe contient le nom de toutes les victimes connues de la bombe ; une flamme de la paix y brûle, destinée à rester allumée tant que des armes nucléaires existeront.


                                                                    Le cénotaphe


Sadako Sasaki est une fillette japonaise née à Hiroshima le 7 janvier 1943 et morte dans la même ville le 25 octobre 1955. Décédée à l'âge de douze ans d'une leucémie due à la bombe atomique, elle est devenue depuis, grâce à ses Grues en papier, une icône de la paix.
Des écoliers viennent rendre hommage à Sadako Sasaki en apportant 1000 grues qu'ils ont confectionnées.



                        La statue de Sadako Sasaki portant une grue en or au dessus de sa tête



 
Elle confectionna au total 644 grues de papier. Elle mourut le 25 octobre 1955 à l'âge de douze ans. Elle avait plié ses grues avec tout le papier qu'elle pouvait trouver, y compris des étiquettes de ses flacons de médicament.
Quiconque confectionne mille grues en origami voit un vœu exaucé. Sadako s'attela dès lors à la tâche, espérant que les dieux, une fois les mille grues pliées, lui permettraient de guérir.

                                                                 Sadako Sasaki 


Description de l'image Sadako_Sasaki.jpg.


Un arbre fut épargné par l'explosion , de nos jours une greffe a été faite et replantée à coté de celui ci afin de perpétuer sa mémoire.



Quartier Gion

Les geishas à Gion sont plus connues sous le vocable local de geiko. Tandis que le terme geisha signifie « artiste » ou « personne des arts », geiko signifie plus particulièrement « un enfant des arts » ou « une femme d'art ». On compte à Kyoto deux hanamashi : Gion Kōbu et Gion Higashi . Malgré le déclin considérable du nombre de geishas à Gion ce dernier siècle, la ville reste célèbre pour son architecture et ses divertissements traditionnels.




 Maison de geisha




Temple Ryoanji

Ryōan-ji , littéralement « Temple du repos du dragon ») est un monastère zen situé dans le nord-ouest de Kyoto, construit au XVI e siècle, à l'époque de Muromachi. Il fait partie du Patrimoine mondial de l'UNESCO, étant l'un des monuments historiques de l'ancienne Kyoto. Le temple appartient à l'école Myoshin-ji de la branche rinzai du bouddhisme zen. Le site du temple appartenait à l’origine au clan Fujiwara.




Le jardin a été construit à la fin du XVe siècle ou au début du XVI e siècle, entre 1499 et 1507. Sa superficie est d'environ 200 mètres carrés. Il est entouré au sud et à l'ouest d'un muret couvert d'un toit de tuiles, à l'est d'un autre muret, et au nord d'une véranda en bois derrière laquelle se trouve le hōjō (les appartements du supérieur du monastère).

Les pierres ont été disposées de telle sorte qu’il ne soit pas possible de voir les quinze pierres à la fois d’où que se trouve l’observateur.
Le jardin se compose simplement d’un lit de fins graviers de kaolin harmonieusement ratissés. Le kaolin ratissé symbolise l’océan, les rochers, eux, figurent les montagnes.







Nijo-jo

C'est Tokugawa Ieyasu qui le fit construire en 1603. Il se constitue de deux cercles concentriques de fortifications, des palais Ni no Maru  et Honmaru , de divers bâtiments de soutien et de plusieurs jardins. Il couvre une surface totale de 275 000 m2, dont environ 8 000 m2 de constructions.







En 1601 Ieyasu Togugawa, fondateur du shogunat des Tokugawa ordonne aux nobles féodaux de l'ouest du Japon de participer à la construction du château de Nijō. La construction est achevée en 1626 sous le shogunat de Ieyasu Togugawa. Initialement construit pour servir de garnison, il fit office de résidence temporaire des shoguns Tokugawa lors de leurs visites à la capitale de l'époque : Kyoto.




Une des caractéristiques du château de Nijô est le « plancher rossignol » qui recouvre les couloirs. Il est construit de telle sorte que le moindre pas fasse crisser les lattes de bois, qui émettent un son semblable au pépiement d'un oiseau. Ce plancher est construit pour détecter tout intrus ou assassin possible.

                                 https://www.abavala.com/wp-content/uploads/Japon_Kyoto_Nijo_Jo-parquet-rossignol-plan2.jpg

                                               Jeunes filles en kimono traditionnel


 Kiyomizu Dera

Le Kiyomizu-dera trouve ses origines en 778, vers la fin de l'époque Nara ; selon la tradition, il aurait été construit par Sakanoue no Tamuramaro. Les édifices actuels datent de 1663, ils ont été reconstruits par Iemitsu Tokugawa. Le temple tient son nom de la chute d'eau qui se trouve à l'intérieur de son enceinte, eau provenant des collines environnantes, kiyoi mizu  signifiant eau pure ou eau de source.







 
 En contrebas du bâtiment principal se trouve la chute d'eau Otowa-no-taki, d'où trois canaux plongent dans une mare. Les visiteurs du temple boivent de cette eau dans des coupelles en fer, eau qui aurait des propriétés thérapeutiques. Il est dit que boire de l'eau des trois canaux confère santé, longévité et succès dans les études.





Kinkaku-ji

Le pavillon d'or, qui donne son nom, « Kinjaku », au temple et situé dans son jardin, a rendu le temple célèbre. Le bâtiment est entièrement recouvert d'or pur, à l'exception du rez-de-chaussée. 
Il sert de Shariden, contenant des reliques de Bouddha .  


                                                                       le ticket d'entrée


 
 Au sommet du toit couvert de bardeaux se trouve la sculpture d'un fenghuang doré, ou « phénix chinois »




                Le bonzai du dernier shogun a été mis en terre à sa mort : le voici de nos jours





 Fushimi Inari Taisha est le plus grand sanctuaire shinto du Japon situé au sud de Kyoto. Erigé en 711, il est dédié à la déesse du riz Inari et plus largement à la richesse. La beauté de ce complexe se dévoile au gré d'une randonnée pédestre le long d'une vallée, balisée par des milliers de portiques vermillon appelés tori










                                                Tori






                                                     Le repas traditionnel japonais


 Nara:Todai-ji

                                                                   Daims en libertés



Le temple, construit au VIII e siècle, est détruit et reconstruit presque intégralement deux fois au cours de son histoire, au XII e et au XVI e siècle. Son édification sous l’égide de l’empereur Shomu entre 745 et 752 requiert la mobilisation de toutes les ressources du jeune État japonais et grève durablement les finances publiques







 Dans l’enceinte se trouve la plus grande construction en bois au monde, le Daibutsu-den, (Salle du Grand Bouddha), qui abrite une statue colossale en bronze du bouddha Vairocana appelée Daibutsu, c'est-à-dire « Grand Bouddha ». Le bâtiment, d’une largeur de huit travées de piliers (soit 57 mètres), est un tiers plus petit que le temple originel qui en comprenait douze.  




                                          Vue du parc




 Kongōbu-ji

« Kongōbu-ji » signifie « Temple de la Montagne du Diamant ». Ce temple bouddhique fait partie des sites sacrés et chemins des pèlerinage dans les monts Kii









 Le moderne jardin de pierre Banryūtei du temple est le plus grand du Japon (2 340 m 2 ), avec cent quarante pierres de granit disposées de façon à suggérer une paire de dragons émergents des nuages pour protéger le temple.                                   





       Les cuisines de temple peuvent servir  200  repas avec ses cuisines immenses.




















                                                      Le Koyassan Kongo buji
                                               



















                                                             
                                                             Le Clocher Danjo Garan


                                                    Notre chambre avec des futons


                                                        le repas végétarien en commun



Mikimoto Pearl Island

 Mikimoto Pearl Island est une petite île de la baie d'Ise, au large de Toba, dans la préfecture de Mie, au Japon. Cette île est connue comme le berceau de la perliculture et fait partie du Mikimoto Pearl Museum



                           les plongeuses descendent jusqu’à 10 mètres de profondeur en apnée.


           

                                                                 Mikimoto Kōkichi




Mikimoto Kōkichi (5 janvier ou 10 mars 1858 – 21 septembre 1954) est un entrepreneur japonais, inventeur de la technique Mise/Nishikawa pour la production de perles de culture sphériques. Il est listé comme l'un des « Dix grand inventeur japonais ».


Mausolée de kobo Daishi

Kūkai (31juillet 774- 22 avril 835) plus connu sous le nom de Kōbō-Daishi est le saint fondateur de l'école bouddhiste Shingon; il est aussi une figure marquante de l'histoire du japon : son esprit universel a fortement influencé la culture et la civilisation japonaise. Il était non seulement un grand religieux, mais aussi un éminent homme de lettres, un philosophe, poète et calligraphe. Toute sa vie il manifesta une grande bienveillance pour tous les êtres, et c'est pour cette raison qu'il est encore, de nos jours, si populaire au Japon.





                                                   Mausolée de Asano Naganori


Histoire d'Asano Naganori

On raconte qu 'Asano Naganori était en mauvais termes avec Yoshinaka Kira ( le maître de cérémonie) ,  leur relation ne fit qu'empirer suite a plusieurs reproche faite par Kira sur l’accueil de ce dernier .
Asano dégaine son sabre et tente de tuer Kira dans le Couloir des Pins du château d'Edo. Il le blesse mais ne parvient pas à le tuer. Le même jour, le shogun Tsunayoshi Tokugawa le condamne à la mort par seppuku ( hara kiri ) .
Ses serviteurs deviennent rōnin (samourai sans maître) quand le shogunat confisque ses terres. Sous la conduite d'Oishi Kuranosuke, ils vengent plusieurs années plus tard, leur seigneur en assassinant Kira le 14 décembre 1702. Ils deviennent célèbres sous le nom des 47 Ronins, et leur vendetta est aujourd'hui l'une des plus connues au Japon.(voir l'histoire des 47 Ronins dans mon blog ).

Il est enterré au cimetière du Sengaku-ji avec ses 47 samourais.
 Résultat de recherche d'images pour "Sengaku-ji."


" Sotaba " planches en bois en l'honneur des noyers et des femmes décédées lors de l'accouchement






Deux pélerins












Village de Shirakawa

  Shirakawa-gō ainsi que le village de Gokayama  sont surtout connus pour leurs maisons typiques dans lesquelles étaient élevés les  vers à soie. Ce style architectural appelé gassho-zukuri (construction aux paumes des mains jointes) désigne les maisons au toit très pentu afin de supporter les chutes de neige très abondantes de cette région montagneuse.





                   Maisons au toit pentu






 Myozen-ji est un temple bouddhiste du courant Jodo (ou "secte de la Terre pure") fondé en 1744, situé dans le village d’Ogimachi rattaché à Shirakawa-go



Visite d'une fabrique de saké 



Entrée de la fabrique de saké
 


 la dégustation !!!



 Où est le samurai ?

 


 Croisière sur le lac Ashi

                                              la croisière sous une pluie battante



 
                                                   non ce n'est pas Christophe Colomb !!!






                                    Le mauvais temps nous a empêché de voir le mont Fuji



 
Temple Tsuragaoka Hachimangu

Il fut construit en 1063 près de Yuigahama, et dédié à Hachiman Daimyojin, déification de l' Empereur Ojin..
Minamoto no Yoritomo, le fondateur du shogunat Kamakura, choisit cette ville en 1191 et fit de     Hachiman, le Dieu de la guerre, son protecteur.
On raconte que plusieurs centaines de guerriers du clan se sont suicidés dans ce temple à la suite d'une défaite sévère lors des guerres contre le clan Taira, qui allait aboutir à l'instauration du shogunRésultat de recherche d'images pour "Tsurugaoka Hachimangu"



Tokyo

Le Temple Asakusa, ( Sensō-ji ) est un temple bouddhiste situé à Tokyo, dans le quartier d' Asakusa (arrondissement de Taito). C'est le plus vieux temple de la capitale japonaise ; il est dédié à la déesse Bodhisattva Kan.





                                                                     la Pagode






                                                     Un mariage traditionnel japonais




                                                Des nouveaux transports japonais !!!




                                                     Rue de la jeunesse japonaise




                                                              La mairie de Tokyo


                                                  Après la visite de Tokyo  un petit resto


                                                      Tokyo vu de la chambre d’hôtel



                                                                     Tokyo la nuit



                                                  Bâtiment de l'Université de la mode



                                                         Une rue de Tokyo la nuit





Une petite japonais un peu timide !!!



                        Quelques repas japonais avec sont charmant serveur et sa bouteille de saké


La bouteille de saké


le service



Le repas à la japonaise en seisa



Les visites dans certain temple n'ont pas été photographiées par respect des lieux sacrés ainsi que dans le musée de la paix d' Hirochima en mémoires des hommes , des femmes et des enfants qui sont morts sous le déluge de feu de la bombe atomique Américaine .

Nous tenons à remercier keiko, notre guide japonaise, qui nous a dirigés durant tout notre voyage en nous apportant sa culture et ses connaissances de ce beau pays qui est le JAPON.

 Arigato Keiko


 
Un sarubobo est une amulette japonaise, particulièrement associée avec la ville de Takayama.
Les sarubobo sont des poupées rouges, sans véritable visage. Les sarubobo peuvent être de tailles très différentes. Traditionnellement, ce sont les grand-mères qui confectionnent les sarubobo pour leur petite-fille, ou bien pour leur fille dans le but de porter bonheur pour le mariage.

Sarubobo signifie en japonais de cette région « bébé singe ». Faites attention quand vous direz ce mot, car dans l'ile de Kyushu « bobo » veut dire autre chose ... ( à vos dictionnaires )

                                                  Sarubobo chasse les mauvais esprits

Résultat de recherche d'images pour "saru bobo"



Benkei

1 commentaire:

Anonyme a dit…

que des belles images et des souvenirs pour la vie
il me tarde d'y retourner
shinken